Lorsqu'on se rend à Deir el Bahari, sur la longue ligne droite qui
mène au temple d'Hatchepsout, on longe à main gauche la nécropole de
l'Assassif. Un peu en retrait de la route, on ne distingue pas nettement une
dépression, au bout de laquelle un mur est percé d'une porte ; c'est
l'entrée de la tombe de Padiaménopé. Au premier abord, elle n'est pas
engageante. Les voisines, au moins, ont encore leurs pylônes. Pour celle-ci,
les deux pylônes ont disparu et la dépression nous dit, Isabelle Régen,
corresponde aux deux cours extérieures du dispositif originel.