Terminons notre compte-rendu par les conférences de l’après-midi qui portent essentiellement sur les pratiques religieuses et funéraires des artisans du village. Comme le note Hanane Gaber, c’est le français Bruyères qui va entièrement dégager le village et retrouver une documentation nombreuse. Les écrits sont des écrits non royaux et le plus souvent en hiératiques, sauf dans les décors des tombes et des temples. Le village vénère des dieux « locaux » comme Hathor, Khnoum et Satis. Les deux derniers dieux sont intéressants, car ils viennent du sud, d’Assouan.